Conversation avec Marceline
Ceci n’est sans doute pas un spectacle, mais quelque chose comme une interpellation.
Une table, deux chaises, un verre de vin et quelques livres essentiels.
Deux voix pour une mémoire en marche.
Ceci n’est sans doute pas un spectacle, mais quelque chose comme une interpellation.
Une table, deux chaises, un verre de vin et quelques livres essentiels.
Deux voix pour une mémoire en marche.
Un poème urbain de la guerre du soleil et de la mélancolie, en mémoire des tutsi du Rwanda.
» Hagati Yacu signifie Entre Nous en Kinyarwanda.
C’est d’abord entre nous, avec vous lorsque le théâtre devient une confidence, et que l’on parle ensemble de la réalité, parce que se taire est impossible.
Théâtre d’étalage dans les bruits de la ville « L’édition de ce Poème Est le résultat d’une Mendicité Publique. C’est le suc des Herbes de la… Lire la suite »Souk Une autre histoire du Maghreb
Hadi est un enfant de onze ans. Il habite à Nyamirambo, un quartier populaire de la ville de Kigali, la capitale du Rwanda.
Il aime jouer au football, traîner dans les rues de son quartier, regarder grandir sa petite sœur Mimie, boire le lait de ses vaches et surtout écouter de la musique. Sa musique.
Mais l’histoire de son pays va sombrer.
Une nuit, il arrive « quelque chose de grave ». La famille est obligée de fuir pour aller se réfugier dans un endroit plus sûr.
L’installation d’une catastrophe est un espace à ciel ouvert, une trace de ce « passé qui ne passe pas », une tentative testimoniale face aux injures de l’amnésie et du révisionnisme.
Elle fait partie d’un dispositif plus vaste constitué d’une pièce de théâtre, de l’édition d’un recueil de textes inédits (essentiellement des témoignages), s’inscrivant dans un parcours ininterrompu de recherches, d’investigations et d’aller retour – relations entre la France et le Rwanda.
Hier, aujourd’hui, demain et après demain Après plusieurs années penchées avec vigueur et engagement vers le Rwanda et particulièrement le génocide perpétré contre les Tutsi… Lire la suite »Ejo N’Ejo Bundi